jeudi 10 mars 2011

De Annie Ernaux

Jean-Alix, les textes de votre fille Florence sont bouleversants, il y a en eux quelque chose d'infiniment pur, déchiré. En d'autres temps on parlerait de sainteté.

Votre écrit à vous, serre le coeur, ouvre les yeux sur l'incompréhensible de la mort.

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