Le métro pris ce matin me donne l'occasion d'une aventure sans doute négligeable dans la logique moderne mais qui me semble pouvoir transformer, dans son aspect de vague parmi une mer se répétant à l'infini, les façons d'être et de se sentir, les capacités à prendre en compte, à approcher le complexe, non pas de chaque être humain, mais d'une certaine catégorie qui serait à nouveau valorisée...
Un individu, bien qu'égaré, peut se trouver facilement chez son prochain qui correspond aux facettes d'un cristal unique, ses faces cachées étant avec les autres cet ensemble de détails dont l'ambition artistique, quand l'humain la réalise facilement, cherche à se dégager, voilant la simplicité humaine comme pouvant l'atteindre, entraînant l'humain vers cette assimilation à l'artificiel, au construit, au morcelé.
On peut considérer par exemple que ce métro me mène à une forme d'abattoir universitaire. Je suis loin en effet de me sentir happé par la matière sensée m'occuper principalement et suis donc sans doute sujet aux attaques malveillantes de l'abruti du savoir. J'exagère volontiers sur cette idée, ont-ils vraiment des oeillères, et considère : rien ne passe par une faculté. La soutenance ne me rend pas, son approche, plus anxieux, de ce fait. Lorsqu'elle arrive une heure plus tard peut-être, je me trouve plutôt gêné par ces transparents, par exemple, ou par ces nombreux yeux, étonnés par ma personne, qui suis comme un poisson depuis bien trop longtemps à l'air libre.
Je suis sensible à ces allers-retours entre être soi et retrouver en soi autrui au point que j'imagine comme un film captivant celui de ma vie solitaire et cette autre forme de moi, qui s'exprime violemment, émerge, que l'on peut distinguer comme un certain sommet nuageux. Ainsi sont trouvés tous les prétextes au manque de guide, autre que celui du chemin de planche dans le sable d'une photo lointaine.
Adieu donc, le temps malheureux, grâce et volupté selon son inverse s'y trouvent, où tout était possible, dans un bonheur structuré. Malheureux comme ne laissant place au changement et entraînant, spirale de douleur, avec mon bonheur, la souffrance des voyants...
J'ai vu longtemps ces quelques rues comme on voit une mer calme et infinie, en rêve, les paysages ou ce qui donne lieu aux marines étant seuls propres à la vraie contemplation. J'ai vu ces détails de visages qui se détachent clairement à travers les brumes de l'alcool. Ces deux choses se rejoignent ainsi, les maisons d'une rue ou les visages de bal de la veille comme s'opposant à l'unité d'une mer depuis telle ou telle plage. Qui a trouvé une raison de ne pas voir autre chose que ces infinis naturels, ou de fuir toujours le conflit des parties réunies ?
Si nous sommes un jour parvenus à un point où, comme pour Aguirre, sur l'Amazone pourtant, l'Océan est plus loin que toute espérance, le chemin accompli comme la lutte pour du meilleur nous sera une caresse entre les coups. Ne sera qu'une caresse ?
Aimer écrire. Aimer lire. Aimer jouer.
Comment sortir de l'excès sans une porte vers l'extrême réussite ?
Un individu, bien qu'égaré, peut se trouver facilement chez son prochain qui correspond aux facettes d'un cristal unique, ses faces cachées étant avec les autres cet ensemble de détails dont l'ambition artistique, quand l'humain la réalise facilement, cherche à se dégager, voilant la simplicité humaine comme pouvant l'atteindre, entraînant l'humain vers cette assimilation à l'artificiel, au construit, au morcelé.
On peut considérer par exemple que ce métro me mène à une forme d'abattoir universitaire. Je suis loin en effet de me sentir happé par la matière sensée m'occuper principalement et suis donc sans doute sujet aux attaques malveillantes de l'abruti du savoir. J'exagère volontiers sur cette idée, ont-ils vraiment des oeillères, et considère : rien ne passe par une faculté. La soutenance ne me rend pas, son approche, plus anxieux, de ce fait. Lorsqu'elle arrive une heure plus tard peut-être, je me trouve plutôt gêné par ces transparents, par exemple, ou par ces nombreux yeux, étonnés par ma personne, qui suis comme un poisson depuis bien trop longtemps à l'air libre.
Je suis sensible à ces allers-retours entre être soi et retrouver en soi autrui au point que j'imagine comme un film captivant celui de ma vie solitaire et cette autre forme de moi, qui s'exprime violemment, émerge, que l'on peut distinguer comme un certain sommet nuageux. Ainsi sont trouvés tous les prétextes au manque de guide, autre que celui du chemin de planche dans le sable d'une photo lointaine.
Adieu donc, le temps malheureux, grâce et volupté selon son inverse s'y trouvent, où tout était possible, dans un bonheur structuré. Malheureux comme ne laissant place au changement et entraînant, spirale de douleur, avec mon bonheur, la souffrance des voyants...
J'ai vu longtemps ces quelques rues comme on voit une mer calme et infinie, en rêve, les paysages ou ce qui donne lieu aux marines étant seuls propres à la vraie contemplation. J'ai vu ces détails de visages qui se détachent clairement à travers les brumes de l'alcool. Ces deux choses se rejoignent ainsi, les maisons d'une rue ou les visages de bal de la veille comme s'opposant à l'unité d'une mer depuis telle ou telle plage. Qui a trouvé une raison de ne pas voir autre chose que ces infinis naturels, ou de fuir toujours le conflit des parties réunies ?
Si nous sommes un jour parvenus à un point où, comme pour Aguirre, sur l'Amazone pourtant, l'Océan est plus loin que toute espérance, le chemin accompli comme la lutte pour du meilleur nous sera une caresse entre les coups. Ne sera qu'une caresse ?
Aimer écrire. Aimer lire. Aimer jouer.
Comment sortir de l'excès sans une porte vers l'extrême réussite ?